En buvant un café
Lunch-Time dans ce café de Strasbourg-Robertsau où règne une véritable mixité sociale. J’entre dans ce café-restaurant, et surtout PMU ce qui en fait l’ambiance.
Au comptoir, je prends place à côté d’une dame âgée. Elle insiste pour obtenir un sac pour envelopper le bretzel qu’elle veut offrir à une amie.De guerre lasse, le serveur lui enveloppe son cadeau dans une serviette en papier d’un beau rouge.
Plus bas, aux tables, c’est plus sérieux. Les turfistes font le « papier » du tiercé de l’après midi. Ils ont ouvert et plié leur journal avec une adresse d’habitué. Ils scrutent les noms des chevaux, leurs poids, handicaps et autre informations indispensables.
Je me dis qu’au fond, ce ne doit pas être désagréable ces passions, dévorantes autant qu’innocente…et rentables pour les officines de paris.
Midi, On bouge du côté de la porte; des habitués, des clients de passage, puis ces deux ouvriers. Le son des voix prend sa place en même temps que les arrivants, ça commence :
Rencontré dans l’ambiance feutrée du salon de thé du Bouclier d’or….suite à notre échanges, j’ai pris le temps, tout mon temps, pour visiter votre site…Et j’ai repense à ce que m’avait dit un ami hopi ..La photo d’une personne, c’est lui voler son ame….Cela m »à laisse rêveuse. ..
Bonjour,
j’aime cette pensée :
« Le regard, une fenêtre ouverte sur l’âme ».
Plutôt qu’un « vol ».
Amitiés.
Bernard.