reconnaître enfin ces autres existences comme telles, et non comme inférieures, accessibles aux massacres.
Considérer leur intelligences, leurs capacité de connaître, d’apprendre et de transmette ne sera pas porté au compte d’une prétendue sensiblerie.
Quand on saura à quel point est faible la distance qui nous sépare de ces « autres », nous comprendrons mieux nos façons de vivre, et amélioreront nos pratiques de tolérance.
Un jour donc, quand le respect de ces autres existences prévaudra, l’Humanité aura fait un grand pas.